Nos partenaires et leurs bénéficiaires témoignent et s'adaptent face au COVID-19

participants making organic manure

« SCLC n’a pas pu implémenter toutes les activités prévues suite aux restrictions pour stopper la propagation du COVID-19. En revanche les activités d’agriculture n’ont pas été interrompues et le centre d’apprentissage a amélioré la ferme de vache pour qu’elle soit plus efficace et organisée. L’élevage du bétail, la production laitière et la gestion des aliments sont les activités régulières mais ils ont également mis en place un centre de production d’engrais organique. » Niroj Shrestha, Project Manager de SCLC, Pharping

Mr Silash Chepang, bénéficiaire de SCLC explique « j’ai vu tous ces matériaux gâchés dans mon village. J’ai maintenant les connaissances pour convertir les déchets en production organique. Une fois la formation terminée, je reviendrais et j’essaierai de former les villageois à ces techniques. »

 

 

Samjhana Danuwar a 24 ans et mère d’un enfant de 2 ans, c’est une des bénéficiaires de notre partenaire Hamro Palo, qui offre des ateliers d’éducation et d’autonomisation à destination des jeunes, exprime son ressenti :

« J’ai appris tellement de nouvelles choses au cours de ma participation aux ateliers, parmi lesquelles les signes dangereux de la grossesse, les bases de la finance, la santé mentale : des sujets nouveaux et très intéressants. De plus, j’ai appris que l’accouchement à la maison n’était pas sûr pour une femme enceinte. J’irai à l’hôpital si je décide d’avoir un deuxième bébé » participante au programme de 15 jours appelé Sneh, conçu pour les jeunes mamans.

 

 

 

Nanu Tamang est une femme de 45 ans qui élève sa fille de 12 ans, elle a participé à une formation sur les activités génératrices de revenus de notre partenaire SETU Nepal, qui appui les familles touchées par le VIH par la formation et la scolarisation.

Après une période difficile, Nanu a aujourd’hui développé son propre poulailler près de Katmandou et prévoit de se former à la méthode de compostage, ce qui ajouterait plus d’efficacité et de rendement à son activité. Elle raconte « maintenant je ne vois aucune raison d’être malheureuse. J’ai ma propre terre, je peux subvenir à mes besoins et enseigner une leçon importante à ma fille. »